Archives de catégorie : expositions

expositions produites par Interface à Dijon

SLOAN LEBLANC – MARC CAMILLE CHAIMOWICZ – JEAN-LUC BARI – MARIE VINDY – VÉRONIQUE TORNATORE – OLIVIER NERRY – GÉRALD PETIT – FRÉDÉRIC BUISSON – ALFONCE – MAXIME TOURATIER – PIERRE-YVES MAGERAND – LOIC RAGUÉNÈS – YVAN LE BOZEC // 50m3

12 septembre  4 octobre 1998

agnès geoffray // FASE

28 mai  28 juin 1998

En démontrant les principes même d’élaboration de l’image, et à travers eux l’ambiguïté de son statut, l’évidence du regard se trouve contrariée. Les modes de perception de l’image – lisibles de prime abord comme simplifiés – basculent alors, laissant place à une deuxième lecture plus complexe, qui tend à une compréhension globale de ces rapports. Ceux-ci diffèrent selon le médium utilisé.

magic + drawings – didier marcel

10 janvier – 7 février 1998

Pour sa première exposition de l’année, la Galerie Interface a choisi d’inviter Didier Marcel. Face aux contraintes de l’appartement galerie, il répond par une double proposition qu’il intitule Magic + Drawings. Cette proposition investit deux pièces par le sol qu’il revêt d’une moquette bleue qui joue sur le privatif de l’espace et qui, simultanément, devient socle ou surface accueillante de son travail. Magic, c’est le titre d’une sculpture circulaire en inox poli miroir qui porte en son centre un cube de plâtre. L’espace s’en trouve à la fois saturé et libéré. Saturé par le volume occupé. Libéré là où le monumental s’annule dans la surface réfléchissante du miroir et nous renvoie à des images connues : tables de salon, bassin…

pat bruder // CHIMÈRES

14 novembre  14 décembre 1997

Le travail de Pat Bruder est un travail de construction. Les constructions ” décoratives” investissent l’espace de façon variées : peinture murale, photographie, dessin, sculpture, etc. Les motifs ornementaux sont utilisés en raison de leur potentiel visuel et de leur visibilité universelle. L’œuvre se veut donc accessible. Par ailleurs une atmosphère ludique habitent les travaux même, si en arrière plan quelque chose de plus sombre se déploie sur un registre que l’on pourrait qualifier de poétique. signifié par le titre de l’exposition. L’artiste en jouant de cette dualité, nous propose donc une œuvre généreuse, résolument visuelle et ouverte.