22 janvier 26 février 2005
Guillaume Millet dissocie des techniques et approches qui peuvent laisser supposer qu’elles émanent de créateurs différents. D’un côté, des acryliques sur toiles de format carré réduites à une bichromie noir / blanc. De l’autre, des dessins à la mine de plomb, au crayon de couleur et carbone sur papier. Les peintures répondent à une configuration formelle et technique qui leur donne un aspect hard edge tandis que les dessins au trait plus fragile et hésitant témoignent d’une absence de raideur qui leur confère une apparence incontestablement plus désorganisée.