Archives par mot-clé : maxime touratier

10 ans de Chancelier ! une exposition au goût de Mirande // Véronique Verstraete, Pat Bruder, Philippe Cazal, Sandra Foltz, Agnès Geoffray, Jean-François Guillon, Pierre-Yves Magerand, Jean-Marc Nicolas, Maxime Touratier, Laurent Sfar, Frédéric Buisson, Olivier Nerry.

14 avril – 26 mai 2012

Le 27 avril 2002, Interface inaugurait sa première exposition dans son second appartement situé au 12 rue chancelier de l’hospital à Dijon. À cette occasion, Frédéric Buisson et Olivier Nerry avaient souhaité rejouer les débuts de leur activité du « 104 rue de Mirande ». L’exposition appelée come back selfportaits consistait à accrocher des petits miroirs dans l’appartement. A la différence de l’exposition inaugurale d’Interface de 1995, le public était aussi invité à dessiner son autoportrait.

En 10 ans de vie dans le 2ème appartement, l’équipe d’Interface a organisé pas moins de 59 expositions et accueilli 320 artistes. Des artistes de toutes les générations se sont succédé. Leur point commun étant d’avoir pensé un projet pour cet appartement et d’y avoir parfois résidé.

SLOAN LEBLANC – MARC CAMILLE CHAIMOWICZ – JEAN-LUC BARI – MARIE VINDY – VÉRONIQUE TORNATORE – OLIVIER NERRY – GÉRALD PETIT – FRÉDÉRIC BUISSON – ALFONCE – MAXIME TOURATIER – PIERRE-YVES MAGERAND – LOIC RAGUÉNÈS – YVAN LE BOZEC // 50m3

12 septembre  4 octobre 1998

MAXIME TOURATIER // PHOS GRAPHIN

21 mars  19 avril 1997

Phos Graphin signifie littéralement “écriture de lumière”. C’est sur une nouvelle approche de l’image à travers une réflexion guidée par cette origine étymologique que se centre le travail de Maxime Touratier. Elle porte à la fois sur un questionnement du langage et du médium photographique, qui se fonde sur une idée simple : la lumière est la matière et en tant que matière peut-être modulée, contrainte, sculptée. Il en résulte que la photographie comme moyen pour capter la lumière et la traduire en image., doit alors échapper et dépasser les normes et les cadres stéréotypés imposés par son utilisation commerciale, aussi bien dans sa forme que par son fond.

COLLECTIF // 50 PIECES FACILES

juillet  août 1996

Stéphane Bidalot, Yan Pei Ming, Joël Merlange, Laurent Thirion, Olivier Nerry, Jean Dupuy, Joseph Spinelli, Vincent Marziali, Lilian Bourgeat, Frédéric Buisson, Benoît Mouxaux, Pierre-Yves Magerand, …

Réunir seize artistes et leur imposer un format à ne pas dépasser, c’est créer une effervescence par la diversité et le nombre pour que l’œuvre redevienne critique, et au-delà de problématique d’environnement, soit critiquée.