Archives par mot-clé : philippe cazal

horsd’oeuvre collection // cécile Bart • raphaël Boccanfuso • étienne Bossut • étienne Boulanger • pedro Cabrita Reis • philippe Cazal • marc camille Chaimowicz • claude Closky • gérard Collin-Thiébaut • jordi Colomer • marc Couturier • baptiste Debombourg • wim Delvoye • peter Downsbrough • lise Duclaux • jean Dupuy • éric Duyckaerts • Ernest T. • vera Frenkel • daniel Firman • jochen Gerz • thomas Hirschhorn • joël Hubaut • claude Lévêque • christian Marclay • guillaume Millet • olivier Mosset • gianni Motti • Orlan • christian Robert-Tissot • mathias Schweizer • niek Van de Steeg • lawrence Weiner • Yan pei-ming17 novembre – 22 décembre 2012

horsd’oeuvre collection – 17 novembre – 22 décembre 2012

L’appartement/galerie Interface est un espace d’exposition associatif qui depuis plus de 15 ans s’est lancé dans l’édition, en proposant horsd’œuvre, un journal gratuit d’art contemporain (tiré à 5000 exemplaires) distribué dans les différentes structures d’art en France.

10 ans de Chancelier ! une exposition au goût de Mirande // Véronique Verstraete, Pat Bruder, Philippe Cazal, Sandra Foltz, Agnès Geoffray, Jean-François Guillon, Pierre-Yves Magerand, Jean-Marc Nicolas, Maxime Touratier, Laurent Sfar, Frédéric Buisson, Olivier Nerry.

14 avril – 26 mai 2012

Le 27 avril 2002, Interface inaugurait sa première exposition dans son second appartement situé au 12 rue chancelier de l’hospital à Dijon. À cette occasion, Frédéric Buisson et Olivier Nerry avaient souhaité rejouer les débuts de leur activité du « 104 rue de Mirande ». L’exposition appelée come back selfportaits consistait à accrocher des petits miroirs dans l’appartement. A la différence de l’exposition inaugurale d’Interface de 1995, le public était aussi invité à dessiner son autoportrait.

En 10 ans de vie dans le 2ème appartement, l’équipe d’Interface a organisé pas moins de 59 expositions et accueilli 320 artistes. Des artistes de toutes les générations se sont succédé. Leur point commun étant d’avoir pensé un projet pour cet appartement et d’y avoir parfois résidé.

TILT – philippe cazal

24 AVRIL – 22 MAI 1999

Une paire de babouches bleu (ou jaune, ou blanche, ou rouge) sur le parquet d’un salon bourgeois. Une intrusion ? Une présence ? Un abandon ? Une absence ? C’est toute l’ambigüité de ces photos que nous propose Philippe Cazal. Historiquement la représentation de la figure est proscrite dans la religion musulmane. Traditionnellement, l’art islamique s’inscrit sur les livres et sur l’architecture des bâtiments royaux, religieux, publics ou privés. L’écriture calligraphique sobre ou baroque et le motif décoratif géométrique, souvent répétitif, requiert une importance évidente dans l’architecture arabe. Les hommes, en entrant dans la mosquée, se déchaussent et laissent leurs babouches dans l’entrée.